Cet été fut l'occasion de me remettre à lire plus régulièrement, mais aussi d'en profiter pour faire quelques critiques de mes découvertes, d'où mon dernier article sur "172 heures sur la lune" ! Après un voyage dans l'espace, je vous emmène aujourd'hui sur l'île de la Réunion pour une enquête haletante, sur fond de Piton de la Fournaise et de rhum.
Avec "Ne lâche pas ma main", Michel Bussi a trouvé une drôle de manière de nous faire voyager !
Fut un temps, je dévorais des livres quotidiennement... Mais dernièrement, je préférais me poser devant une série que d'ouvrir un livre (ou d'allumer ma tablette). Heureusement, les trajets en transport en commun m'ont réconcilié avec la lecture (1h20 de RER ça passe plus vite avec un bon bouquin) !
Saint-Gilles-les-Bains. Christos, flic de son état, est
habitué à se laisser bercer par la douceur de l’île de la Réunion, les effluves
de zamal et le rhum bibasse concocté par le barman de l’hôtel Alamanda. Mais
Liane vient de disparaître de l’établissement, avec ses bagages. Les traces de
sang dans la chambre, sa fuite avec leur fille de six ans, tout accuse le mari,
Martial Beillon. Le fugitif semble bien connaître le coin, et sa cavale est
ponctuée de cadavres. Une course-poursuite haletante dans la moiteur des
tropiques, un slalom vertigineux entre barrages, patrouilles volantes et
fantômes du passé...

Et puis il faut l'avouer, Michel Bussi maitrise assez bien son sujet quand il s'agit de parler de l'île de la Réunion. Certains trouveront peut-être qu'il en fait trop, à force de placer du vocabulaire créole à chaque page, mais moi j'ai trouvé amusant de retrouver les termes que j'avais entendu sur place, et même d'en découvrir de nouveau. Si vous avez déjà visité la Réunion, vous apprécierez aussi de suivre l'intrigue à travers plusieurs villes de l'île, et jusque dans les plaines ! Reste à voir si les locaux seront d'accord avec la façon qu'a Michel Bussi de peindre leur île, mais moi je me suis vraiment retrouvée projetée là-bas...
Une chose est sûre, je lirai "Un avion sans elle" avant la fin de l'année !
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